RNU Thoiras
Depuis le 27 mars 2017, la commune de Thoiras est régie par le Règlement National d’Urbanisme (RNU). Les dispositions du RNU s’appliquent à l’ensemble du territoire communal. Ce changement de règlementation de l’urbanisme a un effet sur les conditions de délivrance des autorisations liées au droit des sols de la commune. (Voir autorisation d’urbanisme).
Malgré le retour au RNU, le maire reste l’autorité compétente pour délivrer les actes d’occupation des sols. Ces actes sont donc toujours instruits par notre service instructeur (service ADS Alès Agglomération).
Les déclarations préalables (DP) et les demandes de permis de construire, d’aménager et de démolir seront soumises à l’avis conforme du Préfet.
Concrètement, le processus complémentaire à l’instruction est le suivant :
L’autorité compétente (la commune) saisi, pour avis conforme, le centre instructeur départemental de la DDTM, en transmettant un exemplaire complet du dossier et s’il y a lieu du certificat d’urbanisme en cours de validité et/ou de l’autorisation de lotissement.
La DDTM dispose d’un délai d’un mois à compter de la réception pour émettre l’avis conforme. A défaut, celui-ci sera réputé favorable. Cet avis se concentre sur l’application de la règle de constructibilité limitée et la prise en compte des risques connus.
- En cas d’avis favorable du Préfet, l’autorité compétente peut donner un accord ou opposer un refus dans le seul cas où l’instruction qu’elle a réalisée démontrerait la non conformité à des dispositions du RNU non examinées au titre de l’avis conforme.
- En cas d’avis défavorable, l’autorité compétente doit opposer un refus au pétitionnaire. La décision prise reste soumise au contrôle de légalité exercé par le Préfet.
En amont du dépôt de votre dossier de demande d’autorisation d’urbanisme, nous vous conseillons de contacter le secrétariat de Mairie de Thoiras-Corbès au 04 66 61 62 82 ou à mairie@thoirascorbes.fr en expliquant votre projet et votre demande, afin d’être conseillé sur le formulaire à utiliser et sur la nature des pièces à joindre.
Vous pouvez dématérialiser vos dossiers de demande d’autorisation d’urbanisme, via l’adresse mail de la Mairie : thoiras30.mairie@wanadoo.fr ou via le guichet unique : http://cartads.alesagglo.fr/guichet-unique
Les formulaires sont disponibles sur le site internet : www.service-public.fr
La notice suivante vous permettra de savoir quel formulaire utiliser en fonction de votre projet :
notice explicative des autorisations d’urbanisme-64p
La délivrance d’une autorisation d’urbanisme permet à la commune de vérifier la conformité des travaux par rapport aux règles d’urbanisme. Selon l’importance des travaux, il faut déposer un permis (permis de construire, d’aménager…) ou une déclaration préalable.
La DENCI (Déclaration des Éléments Nécessaires au Calcul de l’Imposition) n’a plus à être renseignée pour toute demande d’autorisation d’urbanisme déposée à compter du 1er septembre 2022, sauf cas particuliers. Les DENCI des demandes de permis modificatifs et des transferts déposés après le 1er septembre 2022 mais rattachés à une demande d’autorisation d’urbanisme initiale déposée avant le 1er septembre 2022 devront en effet continuer à être renseignées.
• Sauf cas particuliers, pour toute demande d’autorisation d’urbanisme déposée à compter de cette date, une déclaraon devra être effectuée par les redevables auprès des services fiscaux, dans les 90 jours suivant l’achèvement de la construction (au sens de l’article 1406 du CGI), sur l’espace sécurisé du site www.impots.gouv.fr via le service « Biens immobiliers ».
cerfa 13632-08-demande d’autorisation de défrichement
Le défrichement consiste à mettre fin à la destination forestière d’un terrain, en détruisant son état boisé. La destruction accidentelle ou volontaire du boisement ne fait pas disparaître la destination forestière du terrain, en cas de replantation ou régénération naturelle (il ne s’agit alors pas de défrichement, mais de déboisement). L’autorisation de défrichement concerne les forêts possédées par un particulier, un agriculteur, une collectivité territoriale ou une autre personne morale.
Le défrichement peut entraîner :
- la destruction totale des arbres et des souches (coupe rase), avec un changement d’affectation des sols ou
- le maintien temporaire de l’état boisé, avec suppression de la destination forestière du terrain (installation d’un camping ou d’un golf par exemple).
L’état boisé est une constatation de fait et non de droit, ce ne sont pas les différents classements (cadastre ou documents d’urbanisme) qui l’établissent. Par exemple, le classement en zone urbaine par un plan d’occupation des sols (POS) ne fait pas perdre la qualification juridique de forêt.
Si le déboisement a pour but une exploitation arboricole (arbres fruitiers, sapins de Noël par exemple), il y a bien changement de destination (on passe d’une destination forestière à une destination agricole), donc nécessité d’obtenir une autorisation de défrichement.
À savoir :
En cas d’implantation en forêt d’un ouvrage déclaré d’utilité publique, avec notamment une expropriation, la collectivité, ou le bénéficiaire de la déclaration d’utilité publique (DUP), doit obtenir une autorisation de défrichement.
Si le défrichement est lié à des travaux soumis à autorisation administrative (permis de construire par exemple), l’autorisation de défrichement doit être obtenue avant la délivrance de cette autorisation.
Pièces à joindre
Le dossier doit être accompagné des documents suivants :
- plan de situation (extrait de la carte IGN au 1/25 000e ou au 1/50 000e) présentant la zone à défricher,
- extrait du plan cadastral délimitant la zone à défricher,
- attestation de propriété (extrait de matrice cadastrale, acte notarié…),
- destination des terrains après défrichement,
- déclaration relative au parcours par le feu des parcelles,
- superficie à défricher,
- échéancier prévisionnel des travaux, dans le cas d’exploitation de carrière,
- étude d’impact (ou à défaut, de la décision dispensant de la réalisation de l’étude),
- évaluation d’incidence Natura 2000 quand elle est exigée,
- lorsque la demande est déposée par une collectivité, la délibération du conseil municipal (ou de l’organisme propriétaire des terrains) autorisant le maire (ou le président de l’organisme délibérant) à la déposer (document revêtu du tampon d’enregistrement à la préfecture établissant la légalité de la décision),
- si le demandeur n’est pas le propriétaire, les pièces justifiant de l’accord exprès du propriétaire du terrain.
Délai de réponse
Si le propriétaire est un particulier, sans réponse dans les 2 mois, la demande est considérée comme acceptée (accord tacite).
Si le propriétaire est une collectivité relevant du régime forestier, l’autorisation est accordée par le préfet après avis de l’Office national des forêts (ONF). L’absence de réponse dans les 2 mois vaut rejet (refus tacite).
Dans les cas où une reconnaissance de l’état des bois est nécessaire, le délai d’instruction est porté à 4 mois (3 mois peuvent y être ajoutés en cas de conditions climatiques rendant la reconnaissance impossible) et le demandeur en est informé dans les 2 mois de sa demande.
Refus d’autorisation
L’autorisation de défrichement peut être refusée en raison du rôle écologique et social du boisement, lorsque les bois sont reconnus nécessaires :
- au maintien des terres sur les montagnes ou sur les pentes,
- à la défense du sol contre l’érosion et le débordement des cours d’eau,
- à l’existence ou la qualité des eaux, sources et zones humides,
- à la protection des dunes et des côtes contre l’érosion de la mer et l’envahissement de sable,
- à la défense nationale,
- à la salubrité publique,
- à la valorisation de la ressource forestière, lorsque les bois ont bénéficié d’aides publiques en matière de peuplements forestiers,
- à l’équilibre biologique d’un territoire en termes de préservation des espèces, de l’écosystème ou du bien-être de la population,
- à la protection contre les risques naturels (incendies, avalanches…).
Aides financières
pour la rénovation énergétique de votre logement
(liste mise à jour en octobre 2022) :
- MaPrimeRénov’ : elle remplace le crédit d’impôt transition énergétique et les aides de l’Anah “Habiter mieux agilité”. Cette aide est ouverte à l’ensemble des propriétaires, quels que soient leurs revenus. Le logement doit être construit depuis au moins 15 ans ou depuis au moins deux ans lors du remplacement d’une chaudière au fioul. Le montant de la prime est calculé en fonction des revenus et du gain écologique des travaux. Vous pouvez déposer votre demande directement sur le site : https://www.maprimerenov.gouv.fr/
- MaPrimeRénov’ Sérénité : cette aide financière et de conseil permet aux ménages ayant de faibles revenus d’être assistés dans leur projet de rénovation énergétique. Pour faire une demande d’aide, vous devez le faire en ligne. Pour cela, vous devez d’abord vous créer un compte personnel sur le site dédié aux aides de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) : https://monprojet.anah.gouv.fr/po/demarche/infos_po
- L’Éco prêt à taux zéro : cette aide permet de financer la rénovation énergétique des logements sans avoir à faire d’avance de trésorerie. De plus, le taux d’intérêt du crédit est nul et le montant de celui-ci peut aller jusqu’à 50 000 euros. Pour consulter les conditions d’éligibilité à l’éco prêt à taux zéro, rendez-vous sur le site : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F19905
- Le Coup de pouce économies d’énergies : il permet à tous les ménages de bénéficier de primes pour financer certains travaux de rénovation énergétique (chauffage, isolation, rénovation glable, etc). Les démarches pour obtenir cette aide sont à réaliser sur le site spécialisé : https://www.coupdepouceeconomiedenergie.fr/
- Le chèque énergie : c’est une aide nominative qui permet d’aider au paiement des factures d’énergie du logement et de faire face à la montée exceptionnelle des prix de l’énergie, notamment l’électricité et le gaz. Son montant est de 100 €.
- L’aide des entreprises de fourniture d’énergie : les entreprises de fourniture d’énergie (EDF, Total, etc) proposent des aides pour la réalisation de travaux d’économies d’énergies (diagnostics, conseils, prime, prêt à taux bas, etc).
- La TVA à 5,5% : pour des travaux de rénovation énergétique, certains peuvent bénéficier d’une TVA à taux réduit de 5,5%. Retrouvez le formulaire d’attestation sur le site du service public.
- La réduction d’impôt “Denormandie” : elle permet aux particuliers qui achètent un logement à rénover d’avoir une réduction d’impôt sur le revenus. Vous pouvez en savoir plus sur le site du service public.
- L’exonération de taxe foncière : ici, ce sont les communes ou départements qui peuvent exonérer temporairement certains ménages de payer la taxe foncière.
- Le micro crédit ou le crédit à la consommation : pour rénover son logement, il est aussi possible de souscrire un prêt instantané en ligne (par exemple sur la plateforme : https://finfrog.fr/credit-rapide/instantane) ou à un crédit à la consommation auprès d’organismes financiers.
Pour en savoir plus sur les aides à la rénovation énergétique et pour vous accompagner dans ce projet, renseignez vous sur : france-renov.gouv.fr.
RÉSEAU D’EAU
Pour toute question ou demande concernant le réseau d’eau potable (dépannage, raccordement ..), veuillez contacter le :
Syndicat Intercommunal d’Adduction d’Eau Potable de Lasalle (SIAEP),
à la Mairie de St Félix de Pallières au 04 66 61 64 45
ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
Vous envisagez de construire une maison individuelle dans une zone d’assainissement non collectif, ou vous êtes propriétaire d’une maison individuelle équipée d’une installation d’assainissement non collectif qui doit être réhabilitée.
Vous trouverez ci-dessous le lien pour télécharger le formulaire de demande d’autorisation d’un dispositif d’assainissement non collectif ainsi que la liste des pièces à fournir :
demande-dautorisation-de-dispositif
Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez contacter le Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC) Pays Cévennes :
Adresse
Bâtiment l’Atome, 2 rue Michelet, BP 10059
30105 Alès Cedex
Horaires
Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30
Téléphone
04 66 54 30 90
Courriel
spanc@alesagglo.fr
Le Service Technique du SPANC Pays Cévennes reçoit uniquement sur rendez-vous (conseil technique, instruction des dossiers de demande de travaux, de demande de subventions, etc.).
Assainissement non collectif – SPANC
ASSAINISSEMENT COLLECTIF – ALÈS AGGLOMÉRATION
Alès Agglomération exerce la compétence et assure le fonctionnement du service.
Demande d’interventions en cas de Service Assainissement Collectif d’Alès Agglomération
- Bâtiment ATOME
2 rue Michelet BP 60249
30105 Alès Cedex - Téléphone : 04 66 54 30 90
- Email : contact@reaal.fr
Demande de Branchement
- Bâtiment ATOME
2 rue Michelet BP 60249
30105 Alès Cedex - Téléphone : 04 66 54 30 90
- Email : contact@reaal.fr
La Participation pour Assainissement Collectif (PAC)
La PAC a été créée par la loi de finances rectificatives n° 2012-354 du 14 mars 2012, article 30. Elle a remplacé la participation pour raccordement à l’égout (PRE) qui était une participation d’urbanisme liée au permis de construire.
Les modalités d’application de cette dernière sont fixées par délibération du Conseil de Communauté.
RÈGLEMENT DE SERVICE
Le règlement d’assainissement collectif a pour objet de définir les conditions et modalités auxquelles sont soumis les déversements des eaux usées dans les réseaux d’assainissement collectif.
Assainissement collectif – Alès Agglomération
ERDF
Raccordement
Accueil raccordement électricité
382 Av Raimon Trencavel – 34929 Montpellier cedex 9
Tèl : 0810 058 714 – Fax : 04 99 51 37 29
erdf-are-laro@erdfdistribution.fr
Centre d’appel dépannage
09 726 750 30
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE LA PRÉFECTURE DU GARD
SUJET DU COMMUNIQUÉ : | Nîmes, le 11/01/2023 |
Accompagnement des entreprises du Gard face à la crise énergétique |
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En ce début d’année 2023, les services de l’État dans le Gard continuent à se mobiliser pour mettre en œuvre les dispositifs élaborés par le Gouvernement afin de soutenir les entreprises subissant les conséquences de la crise énergétique. En complément des informations diffusées le 10 janvier par communiqué de presse 1 du ministère de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique sur l’organisation de ce soutien, les précisions suivantes sont apportées à l’attention des acteurs économiques du département.
1- Des dispositifs de soutien financier adaptés à la situation de toutes les entreprises et particulièrement des TPE (moins de 10 salariés) Le soutien de l’État se matérialise à travers 4 dispositifs ayant vocation à s’appliquer en fonction de la taille de l’entreprise et du niveau de sa consommation électrique, dispositifs dont la présentation complète est détaillée sur le site economie.gouv.fr 2: – Une nouvelle garantie au profit des TPE, ne bénéficiant pas des tarifs réglementés et ayant renouvelé leur contrat de fourniture d’électricité au second semestre 2022, permet de limiter leur facture en moyenne à 280 euros maximum / MWh sur l’année 2023. Les TPE concernées peuvent bénéficier de cette garantie, à compter de leur facture de janvier 2023, en adressant à leur fournisseur le formulaire attestant du respect des critères d’éligibilité, qui peut être téléchargé sur economie.gouv.fr – Cette nouvelle garantie complète le bouclier tarifaire qui limite à 15% la hausse des factures de gaz et d’électricité des TPE soumises aux tarifs réglementés, dont la consommation électrique est inférieure à 36 kVA. – Pour les TPE dotées d’un compteur électrique d’une puissance supérieure à 36 kVA et les PME (moins de 250 salariés), le dispositif de l’amortisseur électricité se traduit depuis le 1er janvier 2023 par une réduction appliquée directement par les fournisseurs d’énergie sur la facture d’électricité lorsque le prix du MWh souscrit dépasse 180 euros. – Enfin, pour l’ensemble des entreprises grandes consommatrices d’énergie, le guichet d’aide au paiement des factures de gaz et d’électricité permet de compenser la hausse des coûts d’approvisionnement de gaz naturel et d’électricité dès lors que le coût de l’énergie dépasse 3% de leur chiffre d’affaires en 2021 et que leur facture a augmenté de 50 % par rapport à 2021. Ces dispositifs sont cumulables sous certaines conditions. Les démarches à effectuer et les attestations à remplir par les entreprises pour bénéficier des dispositifs de soutien sont accessibles sur les sites impots.gouv.fr et economie.gouv.fr. 2- Des modalités de contact simplifiées pour toutes les entreprises Toutes les entreprises peuvent obtenir informations et conseils selon les modalités suivantes : – Le numéro vert dédié 0 806 000 245 (service gratuit hors prix d’appel) pour répondre à toutes les questions générales sur les dispositifs sur des plages élargies (9h-12h et 13h-18h) – La messagerie sécurisée de votre espace professionnel (impots.gouv.fr) pour des questions plus spécifiques à la situation de votre entreprise, qui permet de contacter les services instructeurs de la DGFiP en sélectionnant « je pose une autre question / j’ai une autre demande ». Ce message devra débuter par « Aide Gaz Electricité » pour en permettre un traitement rapide. – Le conseiller départemental à la sortie de crise, relevant de la DDFiP, est l’interlocuteur de confiance désigné dans notre département pour orienter et accompagner les entreprises dans leurs démarches, notamment l’accès aux aides énergie. Il est joignable par mail : codefi.ccsf30@dgfip.finances.gouv.fr ou par téléphone : 04 66 38 47 00 et 06 18 22 69 75. Enfin, l’ensemble des entreprises pourront compter durant cette période sur le plein soutien de leurs représentants et partenaires habituels (chambres consulaires, fédérations professionnelles, experts-comptables, banques), en coordination étroite avec les services de l’État. Les collectivités territoriales compétentes en matière économique continuent à être associées par la préfète du département à la détection des entreprises en difficulté et à la communication sur l’ensemble de ces mesures. |
1 https://presse.economie.gouv.fr/10012023-cp-accompagnement-des-entreprises-face-a-la-crise-energetique
2 https://www.economie.gouv.fr/hausse-prix-energie-dispositifs-aide-entreprises#
RÉSEAUX INTERNET ET TÉLÉCOMMUNICATIONS
Dossier d’information Mairie (Conforme aux spécifications de la loi Abeille et à l’arrêté du 12 octobre 2016) concernant l’implantation d’une nouvelle installation radioélectrique dans le cadre règlementaire du dispositif de couverture ciblée propre au New Deal Mobile
Ce projet s’inscrit dans le cadre du dispositif d’amélioration de la couverture des axes de transport routiers prioritaires dans l’accord du New Deal Mobile passé entre les opérateurs de téléphonie mobile et l’État visant à accélérer la généralisation de la couverture mobile de qualité pour tous les Français, sous contrôle de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP).
Ce dossier, consultable en mairie, concerne la construction d’une nouvelle antenne-relais portant différentes générations de technologie mobiles.
Déploiement de la fibre d’Orange sur Thoiras :
Fin du 1er trimestre 2023, les premiers foyers alimentés en souterrain seront éligibles.
Pour savoir si vous êtes éligible à la fibre, vous pouvez vous connecter sur le site :
https://reseaux.orange.fr/couverture-reseaux/carte-de-couverture-fibre
Si vous n’êtes pas encore éligible, vous pouvez manifester votre intérêt sur :
http://interetfibre.orange.fr
En cas de problème avec la téléphonie fixe :
- Contactez votre opérateur (entreprise à laquelle vous réglez vos factures de télécommunication) pour identification de la panne.
- Composez le 3900 si votre opérateur est ORANGE et identifiez-vous.
- Si la panne ne vient ni de l’opérateur ni de votre installation, elle peut alors venir du réseau de téléphonie fixe. Il faut alors contacter la Mairie de Thoiras-Corbès qui interviendra auprès du correspondant local de France Telecom / ORANGE, propriétaire du réseau, afin de faire procéder aux réparations nécessaires.
réglement PLU Corbès
Le règlement général du PLU comporte un règlement bien distinct propre à chaque zone :
– la zone U (Urbaine)
– la zone A (Agricole)
– la zone N (Naturelle)
Sur le site, les indications sont à titre de renseignements.
Fautes de frappe, coquilles, erreurs de copiage peuvent se glisser dans le texte.
Merci de le signaler : page contact.
Le règlement officiel est consultable en mairie.
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE URBAINE
ZONE U CARACTERE DE LA ZONE
Il s’agit d’une zone d’habitat ou peuvent s’implanter également des services et des activités non nuisantes compatibles avec un environnement urbain.
Elle comprend un secteur U1 dans lequel les constructions d’habitation doivent se brancher sur le réseau collectif d’assainissement et un secteur Ua autorisant les terrains de campings et de stationnement des caravanes.
REGLES RELATIVES A L’USAGE DES SOLS ET A LA DESTINATION DES CONSTRUCTIONS
Article U 1 – Occupations et utilisations du sol interdites
Sont interdites les occupations et utilisations suivantes :
- Les constructions destinées à l’industrie ;
- Les Installations Classées pour la Protection de (‘Environnement (ICPE) non réalisées dans les conditions définies à l’article U 2 suivant ;
- Les constructions destinées à l’exploitation agricole ou forestière,
- Les parcs résidentiels de loisirs ou villages de vacances ;
- Les résidences mobiles de loisirs et les habitations légères de loisirs ;
- Les dépôts de véhicules et les garages collectifs de caravanes ou de résidences mobiles de loisirs
- Les terrains de camping et de stationnement de caravanes (sauf dans le secteur Ua) ;
- Les carrières ;
- L’aménagement de parc d’attraction ;
- L’aménagement de golf ;
- L’aménagement de terrain pour la pratique de sports ou de loisirs motorisés.
Article U 2 – Occupations et utilisations du sol soumises à des conditions particulières
Dans l’ensemble de la zone U, certaines occupations et utilisations du sol sont soumises à des conditions particulières, à savoir :
- Les constructions destinées à l’artisanat à condition d’être compatible avec le voisinage des zones habitées, au regard notamment des sujétions de salubrité et de sécurité publique
- Les Installations Classées pour la Protection del’Environnement (ICPE) doivent être compatible avec le voisinage des zones habitées, au regard notamment des sujétions de salubrité et de sécurité publique ;
- Le stationnement des caravanes isolées doit respecter la règlementation en vigueur.
Uniquement dans le secteur Ua : Les campings et le stationnement de caravanes à l’intérieur de ces terrains de camping.
REGLES EN MATIERE D’EQUIPEMENT DE LA ZONE
Article U 3 – Conditions de desserte par les voies
Accès :
Les accès et les voies doivent avoir des caractéristiques correspondant à la destination des constructions projetées et répondre aux exigences de la sécurité publique, de la défense contre l’incendie, de la protection civile et de ramassages des ordures ménagères.
Les garages et les portails seront réalisées de telle sorte que les manœuvres d’entrée et de sortie puissent se faire dans les meilleures conditions de visibilité. Ils devront s’ouvrir sur le domaine privé et non sur le domaine public. En outre, le portail de propriété devra être disposé dans une échancrure dont la longueur et la largeur permettent le stationnement d’un véhicule en dehors de la voirie.
Toute création d’un nouvel accès existant ou transformation d’un accès existant reste soumis à l’autorisation du gestionnaire du domaine public sur lequel il se raccorde, avec possibilité de refus pour des motifs de sécurité routière ou de préservation du patrimoine routier.
Toute création d’accès directs sur la RD907 est interdite.
Voirie :
Les constructions nouvelles doivent être desservies par une voie de dimensions, tracés, profils et caractéristiques adaptés aux besoins des opérations qu’elles desservent et permettant le passage ou la manoeuvre des véhicules des services publics d’incendie et de secours.
A l’intérieur des opérations d’aménagement d’ensemble :
- Les nouvelles voies devront avoir une largeur minimum de 4 mètres quand elles permettent la desserte d’un à trois logements, et de 6 mètres lorsqu’elles permettent la desserte de plus de 3 logements.
- Afin de favoriser les relations urbaines en assurant un débouché des voies à chacune de leur extrémité, la réalisation des voies en impasse ne sera autorisée qu’à titre temporaire ou définitif si :
- Elles sont le fruit d’un parti d’aménagement délibéré et cohérent,
- Leur linéaire est inférieur à 50 mètres,
- Elles sont aménagées et dotées d’un dispositif de retournement de telle façon à permettre aux véhicules de faire demi-tour (secours …etc.),
- Elles prévoient l’intégration d’un local technique destiné au stockage des déchets ménagers, directement accessible depuis le domaine public.
Article U 4 – Conditions de desserte par les réseaux
EAU POTABLE :
Toute construction ou installation nouvelle nécessitant une alimentation en eau potable doit être raccordée, par des canalisations souterraines, au réseau public de distribution d’eau potable de caractéristiques adaptées et alimenté en quantité suffisante par une ressource conforme à la législation en vigueur.
EAUX USEES :
Dans la zone U1 : toute construction ou installation nouvelle rejetant des eaux usées domestiques doit être raccordée obligatoirement au réseau public d’assainissement existant par des canalisations souterraines étanches, de caractéristiques et de capacités suffisantes.
Dans la zone U (y compris dans le secteur Ua) : les eaux usées doivent être traitées et évacuées par des dispositifs d’assainissement non collectif conformes à la législation en vigueur.
Pour rappel, les règlementations à respecter en matière d’Assainissement non collectif sont :
- L’arrêté ministériel du 7 septembre 2009 (modifié par l’arrêté du 7 mars 2012) fixant les prescriptions techniques applicables aux installations d’assainissement non collectif de moins de 20 équivalents- habitants (EH) ;
- L’arrêté préfectoral du 17 octobre 2013 « relatif aux conditions de mises en œuvre des systèmes d’assainissement non collectif ».
EAUX PLUVIALES :
Tout aménagement réalisé sur un terrain ne doit jamais faire obstacle au libre écoulement des eaux pluviales et doit être tel qu’il garantisse l’évacuation de ces eaux en priorité par infiltration dans le sol. Si une infiltration par le sol est impossible, le rejet des eaux pluviales se fera vers des dispositifs de rétention suffisamment dimensionnés, sur la base de 100 litres par m2 imperméabilisé avec un rejet maximum de 7 litres par seconde par hectare de surface imperméabilisée.
ELECTRICITE – TELEPHONE – TELEDISTRIBUTION :
Pour toute construction ou installation nouvelle, les branchements aux lignes de distribution d’énergie électrique ainsi qu’aux câbles téléphoniques, sur le domaine public comme sur les propriétés privées, doivent être réalisés en souterrain.
Dans le cas d’aménagement d’une construction existante ou de construction neuve adjacente à un bâtiment existant, l’alimentation électrique et téléphonique peut être faite par des câbles posés sur la façade. Ils doivent emprunter un tracé unique qui doit les insérer au mieux dans l’architecture des bâtiments supports.
L’alimentation aérienne sur poteaux ou consoles ne sera tolérée que très exceptionnellement sur justification qu’aucune autre solution n’est possible.
DEFENSE CONTRE L’INCENDIE :
Les constructions, travaux, ouvrages ou installations doivent disposer des moyens permettant d’assurer la défense et la lutte contre l’incendie.
L’utilisation du réseau public d’eau potable pour la défense incendie est admise.
Il est par ailleurs rappelé l’application de l’arrêté préfectoral du 8 janvier 2013 relatif aux Obligations Légales de Débroussaillement (OLD) et la carte de zonage de ces OLD tels qu’annexés au PLU.
ENERGIES RENOUVELABLES :
L’utilisation des énergies renouvelables est recommandée pour l’approvisionnement énergétique des constructions neuves, en fonction des caractéristiques de ces constructions, sous réserve de la protection des sites et des paysages.
Il convient donc, d’une manière générale et dans la mesure du possible, de privilégier l’utilisation des énergies renouvelables : chaudière bois, électricité et eau chaude sanitaire solaires, pompe à chaleur, panneaux photo voltaïques,…
Article U 5 – Obligations imposées aux constructions en matière d’infrastructures et réseaux de communications électroniques
Lors des travaux de VRD (assainissement, adduction d’eau, enfouissement des réseaux secs, création de voirie, de voies cyclables…) des fourreaux défibré optique hauts débits vierges devront être installés.
REGLES EN MATIERE DE CARACTERISTIQUES ARCHITECTURALES, URBAINES ET ECOLOGIQUES
Article U 6 – Implantation des constructions par rapport aux voies et emprises publiques
Les constructions doivent être implantées par rapport à l’axe des voies à une distance de :
- 15 mètres pour la RD 907 ;
- 10 mètres pour la RD 284 et la RD284b ;
Les constructions peuvent être implantées à l’alignement du bâti existant le long des autres voies ou à une
Article U 7 – Implantation des constructions par rapport aux limites séparatives
La distance, comptée horizontalement de tout point de cette construction à la limite séparative qui en est la plus rapprochée, doit être au moins égale à la moitié de la hauteur de la façade mesurée à l’égout du toit sans pouvoir être inférieure à 3 mètres. (L > H/2 >3 m).
L’implantation en limites séparatives est toutefois admise à condition de respecter au moins l’une des conditions suivantes :
- Lorsque la hauteur totale de la construction, mesurée au droit de cette limite, ne dépasse pas 4 mètres à l’égout du toit ou à la base de l’acrotère, sur une longueur maximale de 10 mètres le long de la limite séparative ;
- Lorsqu’il peut être adossé à un bâtiment situé sur le fond voisin et de gabarit sensiblement identique à condition de constituer avec celui-ci une unité architecturale (hauteur, longueur en limite séparative, pente de toit,) ;
Ces règles d’implantation ne s’appliquent pas aux transformateurs, mobiliers enterrés et semi-enterrés de collecte des déchets ménagers et autres installations techniques nécessaires aux réseaux.
Dispositions particulières pour l’implantation des piscines :
Les piscines peuvent être implantées en limite séparative ou dans les marges de recul visées ci-dessus à condition que le bassin soit enterré au niveau du terrain naturel.
Article U 8 – Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur une même propriété
Non réglementée.
Article U 9 – Emprise au sol des constructions
L’emprise au sol des constructions ne peut excéder 40% de la superficie du terrain.
Article U 10 – Hauteur maximale des constructions
Définition : La hauteur est calculée à partir du sol naturel jusqu’à l’égout des toitures. Elle définit une surface théorique parallèle au sol naturel qu’aucun point de l’égout des toitures ne peut dépasser. En cas d’excavation du terrain, la hauteur est calculée à partir du terrain excavé jusqu’à l’égout des toitures. Cette hauteur définit une surface théorique parallèle au terrain excavé qu’aucun point de l’égout des toitures ne peut dépasser.
La hauteur ne devra pas dépasser 7 mètres à l’égout ou au sommet de l’acrotère (hors hauteur des pilotis des constructions réalisées sur les terrains pentus : cf. article U 11 du présent règlement), soit deux niveaux (R+l) maximum.
Secteur Ua : la hauteur maximale ne devra pas dépasser 5 mètres à l’égout de toiture.
Article U 11 – Aspect extérieur des constructions et aménagement de leurs abords
Volume et matériaux :
Les constructions doivent présenter une simplicité de volume, une unité d’aspect et de matériaux compatibles avec le respect des perspectives, du paysage et de l’environnement en général.
Les matériaux de couverture, les enduits, les menuiseries et les huisseries extérieures doivent emprunter aux éléments correspondant des édifices voisins leur simplicité, leur couleur, leur modulation.
Tous les matériaux doivent être utilisés selon leurs propres qualités à l’intérieur de leur domaine spécifique d’emploi.
Les façades : le traitement des façades en pierres doit respecter les conditions de mise en oeuvre de celle-ci. Les enduits doivent être traités dans un ton neutre se rapprochant le plus possible du ton de la pierre du pays. Les constructions en bois sont admises.
Les annexes doivent être traitées avec les mêmes matériaux et le même soin que la construction principale.
Toitures :
En cas de toiture « traditionnelle », les toitures seront réalisées en matériaux de type tuiles dites « rondes » ou similaires, de préférence d’aspect vieilli (sauf dans le cas de toitures terrasses). La pente de ces toitures et la direction des faîtages doivent être déterminés en tenant compte des éléments correspondants des bâtiments voisins. L’agencement de ces toitures nouvelles respectera la logique d’organisation des toitures existantes. Les faîtages seront cependant de préférence parallèles à la rue. La pente des toitures devra être comprise entre 20% et 35%.
Les toitures terrasses sont admises ainsi que celles en bac acier.
Clôtures :
- Dans les secteurs de bâti ancien, elles doivent être pleines, en pierres ou en agglos enduits, et rechercher une certaine continuité avec les façades environnantes ;
- Dans les secteurs où l’environnement naturel domine, elles doivent être constituées de végétation (sans empiéter sur le domaine public) ou d’un mur enduit sur les deux faces de 1,80 mètre maximum de haut, ou d’un grillage de 2 m maximum de haut doublé d’une haie vive.
- Tout parement en coupe-vent, canisses, planches, est interdit.
Cas des terrains pentus :
L’implantation des constructions doit se faire en tenant compte du terrain naturel, par paliers successifs, pour éviter les terrassements trop importants. Les constructions établies sur pilotis peuvent être admises à condition que l’implantation des pilotis suive la pente naturelle, qu’il ne soit pas réalisé de décaissement sous la dalle du bâtiment sur laquelle reposent les pilotis, et que la hauteur des pilotis-ne dépasse pas 3 mètres à compter du terrain naturel.
Exemples de schémas d’implantation :
Article U 12 – Obligations en matière de réalisation d’aires de stationnement
Stationnement des véhicules motorisés :
Le stationnement des véhicules motorisés correspondant aux besoins des constructions et installations projetées doit être assuré en dehors des voies publiques et privés ou en surlargeur de celles-ci sur des emplacements prévus à cet effet.
La superficie à prendre en compte pour le stationnement est de 25 m2 par véhicule, y compris les accès et les aires de manoeuvre.
Il est exigé :
- Pour les constructions destinées à l’habitation : 2 places de stationnement au minimum par logement.
- Pour les constructions destinées aux bureaux : 1 place de stationnement par tranche de 35m2 de
- surface de plancher créée.
La règle applicable aux constructions ou établissements non prévus ci-dessus est celle à laquelle ils sont le plus directement assimilables.
Stationnement des vélos :
Dans le cas d’une nouvelle construction comportant au moins 3 logements ou 3 bureaux, il doit être réalisé un local dédié au stationnement des vélos à raison d’im2 par logement et / ou par bureau. Ce local doit être clos et couvert.
Article U 13 – Obligations en matière d’espaces libres, d’aires de jeu et de loisirs et de plantations
Les espaces libres correspondent à la surface du terrain (pour partie laissée en pleine terre et / ou plantée), non occupée par les constructions, les aires de stationnement imperméabilisées ainsi que les aménagements de voirie ou d’accès.
Afin de limiter les ruissellements et d’augmenter la capacité de rétention des eaux pluviales sur la parcelle le pétitionnaire devra prévoir une part d’espaces libres garantissant la perméabilité des sols. Ainsi :
- La part minimale de surfaces laissées en pleine terre et / ou plantée est fixée à 40% de la surface du terrain d’assiette.
- Les aires de stationnements et les accès nouveaux doivent être réalisés en matériaux perméables ou dotés de dispositifs favorisant l’infiltration.
Les plantations existantes doivent être conservées ou remplacées par des plantations équivalentes.
Les aires de stationnement extérieures doivent être plantées à raison d’un sujet au moins pour 4 places.
Article U 14 – Obligations imposées aux constructions, travaux, installations et aménagements, en matière de performances énergétiques et environnementales
Non réglementé.
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE AGRICOLE
ZONE A CARACTERE DE LA ZONE
Il s’agit d’une zone agricole à protéger en raison de la valeur économique du sol liée à la terre cultivable. Elle comprend un secteur Ar inondable et un secteur Aa.
REGLES RELATIVES A L’USAGE DES SOLS ET A LA DESTINATION DES CONSTRUCTIONS
Article A 1 – Occupations et utilisations du sol interdites
Sont interdites toutes les occupations et utilisations des sols non compatibles avec le caractère de la zone et en particulier :
- les constructions à usage :
- exclusif non lié à une exploitation ;
- industriel ou artisanal ;Les lotissements et groupes d’habitation ;
- Le stationnement isolé des caravanes ;
- La création et l’aménagement de terrains destinés à l’accueil des caravanes, descampeurs et des habitations légères de loisir ;
- Les carrières ;
- Les installations et travaux visés à l’article R 442.2 du code de l’urbanisme.
Dans le secteur Ar sont interdites :
- Toute construction nouvelle ;
- Tous remblais et clôture en dur ;
- Toute transformation de bâtiment existant ou extension entraînant une emprise au sol.
Article A 2 – Occupations et utilisations du sol soumises à des conditions particulières
Les habitations et les bâtiments nécessaires au fonctionnement et aux besoins de l’exploitation sous réserve qu’ils soient implantés en prolongement ou à proximité du siège de l’exploitation.
L’extension des habitations existantes dans la limite de 250 m2 de surface de plancher au total (existant et extensions inclus) et à condition d’être nécessaire à l’exploitation agricole.
Le camping à la ferme.
L’édification des outillages techniques (exemple : relais hertzien, pylônes électriques, balises de navigation aérienne…) peut être autorisée même si ces installations ne respectent pas le corps de règles de la zone.
Secteur Aa : les activités para agricoles à fonction pédagogique et l’artisanat sans nuisance lié au commerce d’antiquités.
REGLES EN MATIERE D’EQUIPEMENT DE LA ZONE
Article A 3 – Conditions de desserte par les voies
Pour être constructible, un terrain doit être desservi par une voie publique ou privée de caractéristiques satisfaisant aux exigences de la sécurité, de la lutte contre le feu et de la protection civile.
Article A 4 – Conditions de desserte par les réseaux
EAU :
Toute construction nouvelle à usage d’habitation doit être alimentée en eau potable par branchement sur le réseau de distribution publique.
ASSAINISSEMENT :
Les eaux usées doivent être traitées et évacuées par des dispositifs particuliers conformes à la législation en vigueur.
Article A 5 – Obligations imposées aux constructions en matière d’infrastructures et réseaux de communications électroniques
Non règlementé.
REGLES EN MATIERE DE CARACTERISTIQUES ARCHITECTURALES, URBAINES ET ECOLOGIQUES
Article A 6 – Implantation des constructions par rapport aux voies et emprises publiques
Les constructions nouvelles doivent être implantées par rapport à l’axe des voies à une distance minimale de :
- 10 mètres pour la RD 284,
- 8 mètres pour les autres voies.
Article A 7 – Implantation des constructions par rapport aux limites séparatives
Les constructions doivent être implantées soit :
- Sur une ou plusieurs limites séparatives latérales ou de fond de parcelle ;
- De telle manière que la distance comptée horizontalement de tout point du bâtiment à édifier au point de la limite parcellaire qui en est le plus rapproché soit au moins égale à la différence d’altitude entre ces deux points sans pouvoir être inférieure à 3 mètres.
Article A 8 – Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur une même propriété
La distance entre deux bâtiments doit être au moins égale à la hauteur du bâtiment le plus élevé avec un minimum de 5 mètres.
Article A 9 – Emprise au sol des constructions
Non règlementé.
Article A 10 – Hauteur maximale des constructions
La hauteur maximale autorisée est de 9 mètres.
Article A 11 – Aspect extérieur des constructions et aménagement de leurs abords
Les constructions doivent présenter une simplicité de volume, une unité d’aspect et de matériaux compatible avec le respect de perspectives, du paysage et de l’environnement en général.
Les modifications ou réparations des constructions existantes doivent avoir pour effet de conserver ou de rendre à chaque bâtiment son caractère d’origine.
Article A 12 – Stationnement des véhicules
Non règlementé.
Article A 13 – Obligations en matière d’espaces libres, d’aires de jeux et de loisirs et de plantations
Non règlementé.
Article A 14 – Obligations imposées aux constructions, travaux, installations et aménagements, en matière de performances énergétiques et environnementales
Non règlementé.
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE NATURELLE
ZONE N CARACTERE DE LA ZONE
Il s’agit d’une zone naturelle qu’il convient de protéger en raison de la qualité des sites et des paysages qui la composent.
Elle comprend :
- Un secteur Na concernant les terrains inclus dans le périmètre rapproché du captage d’eau,
- Un secteur Nr couvrant les terrains inondables du Gardon et des ruisseaux adjacents,
- Un secteur Nm couvrant les espaces sur lesquels sont repérés des risques d’effondrement dus aux anciens travaux miniers.
REGLES RELATIVES A L’USAGE DES SOLS ET A LA DESTINATION DES CONSTRUCTIONS
Article N 1 – Occupations et utilisations du sol interdites
Sont interdits sur l’ensemble de la zone :
- Les constructions de toute nature sauf celle visées à l’article A2 et en particulier :
- Les constructions de quelque destination que ce soit
- Les lotissements de toute nature
- Les installations classées soumises à autorisation ou à déclaration
- La création et l’aménagement de terrains destinés à accueillir des campeurs,des caravanes et des habitations légères de loisirs
- Le stationnement isolé de caravanes
- Les installations et travaux visés à l’article R422.2 du code de l’urbanisme
- Les carrières
Secteur Nr : Sont interdits :
- Toute construction nouvelle ;
- Tout remblai et clôture en dur ;
- Toute transformation de bâtiment existant ou extension entraînant une emprise au sol.
Secteur Nm : toute construction nouvelle et toute extension des constructions existantes sont interdites.
Article N 2 – Occupations et utilisations du sol soumises à des conditions particulières
Peuvent être admis sous conditions particulières :
Zone N : Extension des habitations existantes dans la limite de 250 m2 de surface de plancher au total (existant et extensions inclus), et annexes non attenantes au bâtiment existant (non habitées) dans la limite de 50 m2 d’emprise au sol et à une distance maximale de 30 m de tout point du bâtiment existant.
Secteur Nr (A, B, C) : Extension des constructions existantes dans la limite de 250 m2 de surface de plancher (existants + extensions inclus) dont le plancher se situe au-dessus du niveau 142 NGF (La Papeterie) ; 143 NGF (Lagère) ; 146 NGF (Les Adams). Ces secteurs sont respectivement classés A, B, C et y sont autorisés les activités hôtelières et de restauration. Aucun aménagement ne sera autorisé au- dessous de la côte de la crue de référence.
L’édification des outillages techniques (exemple : relais hertzien, pylônes électriques, balises de navigation aérienne…) peut être autorisée même si ces installations ne respectent pas lecorpsde règles de la zone.
Secteur Nm : aucune construction nouvelle ou extension de constructions existantes ne sont autorisées.
REGLES EN MATIERE D’EQUIPEMENT DE LA ZONE
Article N 3 – Conditions de desserte par les voies
Non règlementé.
Article N 4 – Conditions de desserte par les réseaux
Eau potable : secteur Nr (A, B, C) : non réglementé
Eaux usées : Secteur Nr (A, B, C) : non règlementé
Article N 5 – Obligations imposées aux constructions en matière d’infrastructures et réseaux de communications électroniques
Non règlementé.
REGLES EN MATIERE DE CARACTERISTIQUES ARCHITECTURALES, URBAINES ET ECOLOGIQUES
Article N 6 – Implantation des constructions par rapport aux voies et emprises publiques
Les extensions et agrandissements des constructions existantes doivent être réalisés par rapport à l’axe des voies à une distance minimale de :
- 15 mètres pour la RD 907 ;
- 10 mètres pour les autres routes départementales ;
- 8 mètres pour toutes les autres voies.
Article N 7 – Implantation des constructions par rapport aux limites séparatives
Les extensions et agrandissements des constructions doivent être réalisés de telle manière que les bâtiments soient implantés soit :
- Sur une ou plusieurs limites séparatives latérales ou de fond de parcelle ;
- À une distance de ces limites au moins égale à la moitié de la différence d’altitude entre tout point du bâtiment et le point le plus proche de la limite séparative. Cette distance ne peut être en aucun cas inférieure à 3 mètres.
Article N 8 – Implantation des constructions les unes par rapport aux autres sur une même propriété
Non règlementé.
Article N 9 – Emprise au sol des constructions
Non règlementé.
Article N 10 – Hauteur maximale des constructions
La hauteur des constructions résultant des extensions et aménagements, comptée à partir du sol naturel n’excédera pas 9 mètres à l’égout de toiture.
Article N 11 – Aspect extérieur des constructions et aménagement de leurs abords
L’aménagement et l’extension des constructions existantes doivent avoir pour effet de conserver ou de rendre à chaque bâtiment son caractère d’origine.
Les plates-formes d’implantation (remblais ou déblais) sont interdites. Les toitures terrasses sont interdites.
Article N 12 – Obligations en matière de réalisation d’aires de stationnement
Non réglementé
Secteur Nr (A, B, C) : une place par chambre et par 5 m2 de salle de restaurant
Article N 13 – Obligations en matière d’espaces libres, d’aires de jeu et de loisirs et de plantations
Non règlementé.
Article N 14 – Obligations imposées aux constructions, travaux, installations et aménagements, en matière de performances énergétiques et environnementales
Non règlementé.
PLU Octobre 2022 - Téléchargement
Évolution des zones du Pos 1988, 1994 et du PLU 2002/2006, 2009
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